Difficulté
Très difficile à extrême.
Très difficile à extrême.
3 jours / 2 nuits
Cévennes / Caroux
7 à 10
385 € / personne
Un stage de survie très difficile, dans les sites les plus sauvages du sud de la France.
Près de 100 km à parcourir en franchissant montagnes, plateaux, vallées et rivières, sans aucune nourriture ni équipement de bivouac !
3 jours d’une expérience hors normes pour tester vos limites et vous forger un mental de survivant !
JOUR 1 : 7 à 9 h de marche (28 à 34 km ; 1200-1500 m D+ ; 700-900 m D- ), sans nourriture.
RDV à 9h30 sur site (Cévennes : Saint Jean de Buèges).
Prêt du mini sac (20 l) avec un équipement minimal : 1 couteau, 1 kit de survie, 1 gamelle, 1 bouteille d’eau, 1 tarp… et rien d’autre ! Vous partez avec vos vêtements du jour et aucun vêtement de rechange.
Une longue journée de marche -sans nourriture- avec franchissement d’obstacles, orientation et collecte d’eau vous attends.
Le soir, nous cherchons une zone de bivouac, construisons notre abri et faisons du feu.
Nuitée dans votre abri (ou en grotte si météo exécrable).
Une très inconfortable nuit (sans aucun matériel de bivouac) vous attend ! Il faudra gérer le froid.
JOUR 2 : 8 à 10 h de marche (29 à 36 km ; 500-900 m D+ ; 900-1300 m D- ), peu ou pas de nourriture.
Cette première nuit inconfortable et les efforts de la veille (1200 à 1500 m de montée) ont déja fortement atteint votre physique et votre mental.
Vous avez très faim, mais il n’y a rien à manger…
Nous continuons notre très longue marche, cette fois ci en essayant de collecter des ressources de la nature (baies, insectes, bulbes…). Il faudra impérativement trouver de l’eau.
Le soir, vous construisez votre abri, faites du feu et préparez un repas avec ce que vous aurez trouvé. Vous ne trouverez probablement pas assez de nourriture et vous aurez encore faim.
Seconde nuitée encore inconfortable (toujours sans aucun matériel) dans votre abri.
JOUR 3 : 7 à 9 h de marche (25 à 30 km ; 750-1000 m D+ ; 750-950 m D- ), très grosse fatigue.
Le réveil est difficile après 2 grosses étapes en ayant rien (ou quasiment rien) mangé.
On se sent très faible, mais il faut continuer à marcher.
Le mental doit prendre le dessus et on oublie les douleurs aux jambes.
La faim commence à se faire oublier : on est passé en mode 100% lipolyse (on brûle les graisses).
On arrive très épuisé à l’objectif. L’épreuve est enfin finie.
Vous aurez réalisé un sacré tour de force : 85 à 100 km de marche en montagne, sans manger (ou quasiment) et en passant deux mauvaises nuits de bivouac sans matériel. C’est une épreuve totalement réaliste de survie.
Une collation vous attends.
Débriefing.